Geek Beauty

Le retour en grâce de TransDesign m'a permis de découvrir la collection d'Orly pour cet automne 2010 : Cosmic FX ! Quatre flacons sont venus enrichir mes tiroirs : Galaxy Girl, Lunar Eclipse, Out of this World et Space Cadet. Quelques jours plus tard, j'aurais dû me rabattre sur un site plus cher puisque TD a décidé de ne plus envoyer la marque en dehors du continent américain.

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Aujourd'hui, je vous présente Out of this World, mon préféré des 4 !
Il s'agit d'un violet profond, parsemé d'une multitude de paillettes roses et dorées qui brillent de mille feux ! Voilà deux jours que je le porte et je ne me lasse toujours pas de regarder ces petits éclats colorés, qu'on perçoit même à l'ombre.

Comme d'habitude avec Orly, application idéale et séchage sans problème. La couvrance est tout aussi bonne : à une couche, c'était déjà quasi parfait ! Et puis... je suis un peu rassurée sur le soin NailTek II que j'utilise en base. Cette fois, pas de souci de tenue. Aucune usure ni écaille à l'horizon au bout de 48h 72h !

L'une des principales qualités d'Out of this World réside également dans la facilité avec laquelle il se retire. J'ignore (pour l'instant :p) s'il en va de même pour les autres teintes de la collection Cosmic FX mais je suis scotchée ! 3 petits coups de coton imbibés de dissolvant et ça roule, ma poule. Plus une seule paillette et ce, sans avoir recours aux papillotes !

Base : NailTek Therapy II
Couches : 2
Top coat : Revlon top coat fixateur

Application : 5/5
Opacité à 2 couches : 5/5
Séchage : 5/5
Tenue : 5/5

Conclusion : Out of this World est vraiment un très joli vernis, qui devrait plaire même aux réfractaires des paillettes dont j'ai longtemmmmmmmmmmmmmps fait partie. Les paillettes ne font pas too much et, au contraire, font ressortir la profondeur du violet. En voilà qui fera sûrement partie de mes chouchous cet hiver !

Côté d'amour : 5/5

Un peu avant l'été, Urban Decay, grand spécialiste des palettes en édition limitée, a fait baver toutes les beauty-sta en dévoilant sa Naked, prévue pour la rentrée. Comme beaucoup, après en être revenue des palettes où l'on utilise que 2-3 faps maxi, je me suis mise sur les rangs, prête à acquérir la petite à sa sortie. C'est qu'elle avait tout pour me plaire : 12 faps dans les tons nudes, de taille normale, pour la modique somme de 40€. Faites le calcul : un fap UD coûte généralement 16€. Aussi me mettais-je sur les rangs, prête à acquérir la petite à sa sortie !
Mais c'était sans compter la folie qui allait déferler sur elle et, aussi, le peu de stock chez l'unique distributeur de la marque en France, notre cher ami Sephora.

La palette est arrivée dans la plupart des magasins un jeudi matin, dans la discrétion la plus totale puisqu'aucune date précise n'avait été annoncée. Mais vous savez comme ça va vite dans la blogosphère ! La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre et, à la mi-journée, la majorité des Sepho étaient déjà en rupture de stock. Cerise sur le gâteau : la palette a été mise en ligne sur le site du supermarché de la beauté la nuit suivante, à 3h du matin. 5h heures plus tard, même topo ! RUPTURE DE STOCK !!!
On ne compte plus, depuis, les dépressions et les engueulades (sisi ! allez donc jetez un coup d'oeil sur les forums beauté du web français :p) causées par l'indisponibilité de la palette.

Alors, la Naked, hit or miss ?

Ses points forts :
- son prix : 40€
- ses 12 couleurs nude qui iront à tout le monde comme à n'importe qui
- la qualité des faps UD
- le packaging assez sobre, sombre et doré, qui change des créations hautes en couleur habituelles de la marque

Ses points faibles :
- les faps de couleurs neutres, dont on peut assez aisément trouver des dupes
- la mauvaise distribution
- le stock
- l'hystérie collective qui l'entoure

Soyons honnêtes... Pour la majorité des fans de make-up, la palette Naked n'a pas grand intérêt. La plupart ont déjà, dans leur(s) tiroir(s), une multitude de faps nude de toutes marques (UD, Mac, Make up for ever, Clarins, Cargo). Seulement voilà... Pour satisfaire sa boulimie de maquillage, être in et faire la belle devant celles qui n'ont pu acquérir la précieuse, une beauty-sta SE DOIT d'avoir la Naked.
Urban Decay a, sans conteste, réussit son coup. Avec un stock aussi limité, sa palette nude s'arrache et je ne vous parle même pas d'Ebay. C'est un succès ! Mais un hit dont l'on peut tout à fait se passer... et qui pourrait même, selon certaines, devenir permanente. Alors, pas de panique...
Et si vous n'avez pas (encore) trouvé la Naked, fouillez donc un peu dans vos affaires. Je suis certaine que vous y trouverez de quoi faire de sublimes make-up nude !

La Naked, c'est Hit AND miss !

La vie d'une polish-addict est souvent rythmée par la recherche de dupes en tout genre. En ce mois de septembre, mes recherches se sont portées sur Indian Blue de MAC, sorti au printemps dans la collection Liberty of London.
On peut encore trouver quelques exemplaires de ce vernis (sold out partout) sur Ebay, à des prix totalement prohibitifs, chez des vendeurs peu reconnus.
Aussi ai-je préféré regarder quelles teintes pouvaient s'en rapprocher... Après quelques hésitations, j'ai décidé de tester Gray by Gray de la marque Sally Hansen, introuvable en France. A croire que je suis maudite puisque ce vernis, lui aussi, ne se trouvait que chez UN SEUL et UNIQUE revendeur Baybay, à un prix plutôt corsé mais toujours moins qu'Indian Blue. En farfouillant dans la boutique du vendeur, je trouve au passage Peacock Feathers de Nubar et Gunmetal, toujours de Sally Hansen, petites raretés qui m'interpellaient depuis plusieurs semaines. Banco ! J'achète !

Une petite semaine plus tard, je reçois les précieux, bien emballés dans une small flat box, et avec, en prime, un vernis cadeau. Et pas n'importe lequel puisqu'il s'agit de My Own Private Jet d'OPI. Inutile de vous dire que j'ai immédiatement enregistré le vendeur parmi mes favoris :p Bref...

Après un rapide swatch de chaque flacon, je me laisse tenter (bien que Gunmetal me tendaient ses bras grands ouverts...) par Gray by Gray.
La couleur, gris-bleu, bleu-gris, est identique au rendu du flacon. Je décèle néanmoins quelques micro-shimmers roses selon la lumière et découvre, surtout, un pinceau assez extraordinaire, très large et très plat. Un peu sceptique, je rate magistralement mon pouce gauche ! Ca commence bien... Pour les autres ongles, je décide d'y aller un peu plus délicatement et là, miracle ! C'est qu'il se manie rudement bien, cet étrange pinceau ^^
Le reste de l'application se passe nickel et une seule couche suffit largement. Par acquis de conscience et pour combler un ou deux micro-millimètres laissés blancs ici et là, une deuxième couche s'invite. Suivie de mon top coat. Pour l'occasion, j'ai choisi celui de Revlon, que j'affectionne tout particulièrement.
Mauvaise idée ? Peut-être... J'ai octroyé un bon quart d'heure de séchage entre les 2mais je perçois mon Sally Hansen qui a très envie de se faire la malle. Je pose donc légèrement mais assez grossièrement le top coat, histoire de ne pas flinguer mon zoli vernis !

Niveau tenue, à revoir... Peut-être est-ce la faute du top coat ? Je ne sais pas... En tout cas, dans la soirée, l'usure au bout des ongles commençait déjà à se faire sentir. A J+1, ça n'a plus bougé jusqu'à la douche... 2 écailles ! Il aura tenu une journée et demi. A revoir sans top coat !

Comme souvent, les photos ne sont pas parfaitement fidèles. Gray by Gray se classe en réalité dans une tonalité plus sombre, le bleu plus sourd et le gris plus présent.

Base : NailTek Intensive Therapy II
Couches : 2
Top coat : Revlon top coat fixateur

Application : 5/5
Opacité à 2 couches : 6/5
Séchage : 4,5/5
Tenue : 2,5 (à voir sans top coat)

Conclusion : A la base, je ne suis pas vraiment fan des vernis crèmes mais c'est qu'il est quand même bien sympa ce Gray by Gray et il remplit plus que correctement sa fonction de dupe d'Indian Blue. Mais, surtout, je trouve qu'il va à MERVEILLE avec mes bottes bleu-gris et mon bonnet venu tout droit d'HH. Love it ^^

Côte d'amour : 4,5/5

Après le 505 Particulière, it-vernis de ce printemps 2010 dont le succès fut tel qu'il fait désormais partie du catalogue régulier, Chanel détient le nouveau vernis que toute fashionista se doit de posséder à la rentrée.
Son nom ? Paradoxal (509). Et dieu que ce nom lui va bien...
Taupe foncé dans la lignée de You don't know Jacques d'OPI, il possède des reflets rose-violet à tomber et des micro-shimmers qui le rendent absolument sublime à la lumière du jour.

Comme tous les vernis de la marque, il s'applique relativement bien et ce, malgré la petite taille du pinceau.
La couvrance est quasiment immédiate à la 1re couche mais une seconde permet de perfectionner la pose.
Le séchage est un poil plus long qu'à l'accoutumée car le vernis est tout de même assez épais.

Une fois n'est pas coutume, le Paradoxal se distingue des autres vernis Chanel par l'excellence de sa tenue.

Base : Essie
Couches : 2
Top coat : Revlon top coat fixateur

Ces photos ne lui rendent pas justice aussi essaierai-je d'en faire d'autres, un jour où la lumière sera moins difficile...

Nombreuses sont celles déjà parties à la recherche du dupe parfait car 20€ le vernis, ça fait quand même très cher... J'ai eu un véritable coup de coeur pour cette teinte et je crains que mon flacon ne dure pas très longtemps. Aussi j'attends avec impatience l'Indigo de BB Couture, dont je vous parlerai dès qu'il sera en ma possession... C'est qu'il se ferait presque attendre, le petit ! Voilà plus d'une semaine que je l'ai commandé et il a seulement été expédié hier...

Application : 5/5
Opacité à 2 couches : 5/5
Séchage : 4,5/5
Tenue : 5/5

Conclusion : Je n'avais pas été totalement convaincue par le 505 mais le Paradoxal mérite sans conteste son titre de must-have de la rentrée. Original, subtil et paradoxal à souhait, il y a de fortes chances qu'il finisse, lui aussi, en régulier chez Chanel. C'est tout le mal que je me souhaite, si je n'arrive pas à dégoter le duper parfait...

Côte d'amour : 4,5/5

The Color to Watch fait partie de la collection automnale OPI 2010 : Swiss Collection.

Il se différencie singulièrement du reste de la collection, dont les teintes sont plus sombres, et reste parfait pour ces jours de rentrée où le soleil se fait moins fort mais où l'on a encore envie de porter des teintes claires et lumineuses. D'une jolie couleur mauve, très lumineux, il revêt tout son intérêt au soleil où ses reflets bleus et roses attrapent le regard.

L'application en elle-même est très facile grâce au pinceau OPI qu'on ne présente plus, mais attention malgré à y aller par fines couches. En couches plus épaisses, le vernis aura tendance à "reculer" sur le bord de l'ongle et à donner un effet délavé. Peu couvrant, The Color to Watch nécessite au moins 3 couches pour être parfaitement uniforme et cacher la démarcation des ongles. Heureusement, comme il est également assez aqueux, le séchage est assez rapide, sans risque d'accro dans les heures suivant la pose.

Niveau tenue : ni écaille, ni accro en 3 jours. Avec sa couleur claire, l'usure au bout des ongles passe inaperçue et permet de le garder encore plus longtemps.

Base : Essie
Couches : 3
Top coat : Revlon top coat fixateur

Application : 5/5
Opacité à 2 couches : 3/5
Séchage : 5/5
Tenue : 5/5

Conclusion : The Color to Watch de la collection Swiss d'OPI est un vernis qui devrait plaire à beaucoup, facile à porte et parfait pour la fin de l'été !

Côte d'amour : 4/5

Les derniers beaux jours ne sont pas encore arrivés que déjà la collection automne-hiver débarque en boutique et sur le web, créant de nouvelles envies d'achat.
Comme avant chaque début de saison, je tente de me raisonner en me disant que j'ai déjà toutes les chaussures, bottes et boots qu'il me faut. Mais comment résister à l'appel de ces nouveautés plus originales, plus pratiques, plus rock, plus féminines, plus.hautes, moins hautes, plus... tout !

En ces premiers jours d'août, mes coups de coeur se portent sur :

Ash, Glen : Ces superbes bottines multibrides à boucles, open toes.

100% cuir avec un talon de 11cm.

Commandées illico presto avec une petite réduc sympa de 10%.

Où les trouver ? MonShowRoom.com

Prix : 195€

Victoria's Secret, Belted Boots : Des bottes et encore des bottes...

Avec, toujours, des brides et des boucles comme j'adore !

Les grises claquent à mort mais j'ai déjà une paire de cavalières dans ce genre de couleurs, qui sont une horreur à assortir avec un jean.

Les marrons font cheap...

Les noires ont le défaut commun à 95% des bottes noires : il leur manque ce petit truc qui les rend indispensables dans le placard de toute fashionista...

Où les trouver ? Victoria's Secret

Prix : 79$

Il y a un peu plus d'une semaine, une grande copine à moi m'a parlé du sport, ou plutôt de la gym, qu'elle commençait à pratiquer. Cette gym, qui nous vient tout droit des Etats-Unis, s'appelle : Callanetics. Le nom vient directement de la créatrice : Callan Pinckney, une drôle de dame.

La Calla est présentée comme une gym douce, dont 1h de pratique vaudrait 7h de gym normale. Je vois déjà votre sourcil se lever de scepticisme, j'ai fait de même ^^ Le principe est simple : faire travailler les muscles en profondeur en tenant des positions et en effectuant de très légers mouvements pour les étirer. On se trouve à mi-chemin entre le yoga, le stretching et les exercices de gainage.
Je ne vous parlerai pas des résultats en termes de pertes centimétriques car j'ai repris, en même temps, le cardio avec mon adoré vélo elliptique et un petit rééquilibrage alimentaire nécessaire (bah oui, si 3 cocas par jour et des gâteaux à gogo passaient inaperçus sur la silhouette, ça se saurait, hein...). Non. Je préfère évoquer les sensations ressenties (ou non), les progrès effectués (ou non) et les éventuelles modifications physiques que je n'ai jamais eues avec d'autres sports ou régimes.

Autant vous le dire tout de suite, depuis toute petite, je suis raide comme un poteau électrique et les cours de gym ont toujours été une véritable torture pour moi. C'est donc par simple curiosité que j'ai fait ma 1ère séance de Calla. Première surprise : toutes les vidéos disponibles sont des rips VHS datant du début des années 90. Amateurs de kitsch, bonjour ! La première hallu passée, voilà qu'on découvre que la musique qui va nous accompagner donnerait plutôt envie de dormir que de se bouger les fesses. Gloups !

On commence par des échauffements en douceur, et plus particulièrement de la nuque. Jusque là, tout va bien, je suis sans trop de souci. Arrivent alors les exercices pour les abdos. Hmmm... Une jambe en l'air, l'autre au sol, épaules relevées, et c'est parti pour 100 mouvements. Ah ouais, quand même ! Ca chauffe et ça tremble. On ne dirait pas comme ça. Et on fait pareil avec l'autre jambe, allez hop ! Après 2/3 exercices abdominaux, on va cibler les hanches, les jambes et... s'étirer. Et là, c'est le drame ! Mlle Piquet souffre et tente désespérément de baisser son foutu corps de fer d'un demi-centimètre supplémentaire. Boudiouuuuuuuu ! Heureusement, la gentille dame Callan est loin du stéréotype du prof de sport que l'on a pu croiser à l'école ou à la salle de sport du coin. Elle encourage tout en insistant sur une chose : ne JAMAIS forcer. Personne ne va venir vous appuyer comme un malade sur le dos et vous faire hurler de douleur, tout en commentant votre raideur extraterrestre. Non. "Vos muscles," dit dame Callan, "s'étireront quand ils seront prêts. Ne forcez pas, écoutez votre corps et allez à votre rythme."

Grosso modo, je dois en être aujourd'hui à ma 6ème heure de Calla. Moi qui n'arrivais, depuis 30 ans, qu'à m'étirer jusqu'aux genoux (je vous avais prévenus : raide comme un poteau électrique !), je descends désormais jusqu'aux chevilles... après une grosse semaine de pratique. J'en arriverai presque à rêver de toucher un jour le sol !
En plus de cet impensable exploit, la jelly qu'était mon corps semble laisser place à un carré de chocolat dur et dense, comme si la peau collait littéralement aux muscles ^^ Aujourd'hui, je me mettrai presque à espérer voir apparaître quelques abdos sous la grâce du bidou :p De quoi donner envie de persévérer, non ?

Pour ce premier article de blog, j'ai choisi de vous présenter le vernis Glam Rock d'Orly, reçu dans ma dernière commande TransDesign. Il s'agit de ma première expérience avec Orly, et de la seconde avec un vernis mat (je vous parlerai du premier, Harlow de Zoya, à l'occasion d'un prochain article).

L'expérience est plutôt concluante ! J'ai apprécié la phase d'application avec un pinceau facile à manier, qui a déposé pile la bonne quantité de vernis et qui n'a occasionné quasi aucun débordement fatal ;)
L'opacité à une couche était déjà excellente mais j'ai préféré en mettre une seconde pour que ce soit parfait, notamment au toucher. Vous allez me prendre pour une folle, mais j'A-DO-RE caresser le fini des vernis mats. Ils sont d'une douceur, d'un velouté dont je ne me lasse pas ^^
Fidèle à la réputation des vernis mats, le séchage est quasi immédiat : un rêve pour les nanas pressées ou qui ont constamment les mains occupées ^^

Niveau tenue, pas de surprise. Avec cette texture si particulière et sans top coat, la couleur commence à s'effacer sur le bout des ongles au bout de 24h. Pas d'écailles pour l'instant. Peut-être durant les 24h prochaines heures...

Pour finir, un petit mot sur la couleur.
J'ai totalement craqué sur le nom du vernis : Glam Rock. Il se devait de figurer dans ma tite (mais grandissante) collection de VAO !  Je me suis un peu laissée abuser par un swatch où le vernis semblait plus doré. En réalité, il s'agit d'un cuivré clair, tirant sur l'orange. Je suis curieuse de voir s'il sera toujours aussi joli cet hiver, avec ma peau qui aura retrouvé sa légendaire blancheur :s

Base : Essie
Couches : 2
Top coat : Aucun

Application : 5/5
Opacité à 2 couches : 5/5
Séchage : 5/5
Tenue : 4/5

Conclusion : Glam Rock d'Orly est un vernis à la fois sobre et original, parfait pour les filles overbookées comme vous et moi ^^

Côte d'amour : 4/5